#SOSRAVI

le Ravi, qui ne veut pas devenir un fantôme, lance un SOS. Pour vivre et cesser de survivre, il doit réunir 100 000 euros d’ici mai. Sans blague ? C’est beaucoup, c’est urgent et pourtant essentiel. Et avec vous c’est possible ! L’avenir de l’unique journal satirique régional et celui de son association, la Tchatche, avec ses actions citoyennes, sont sur le tapis. Rien ne va plus ? À vous de jouer !

Faire un don

Comment nous sauver ? 

 

1. Faire un don défiscalisé : vous bénéficiez d’une réduction d’impôt, si vous en payez, à hauteur de 66 % pour les particuliers et de 60 % pour les entreprises. C’est chouette non ? La condition est que la plateforme prélève une commission de gestion de 5 à 8 % sur le montant.

2. Faire un don direct : avec cette méthode, pas de commission. L’intégralité de votre don va permettre de soutenir notre travail (promis nous n’allons pas acheter des gadgets insensés, on ne saurait pas les utiliser ! ). Vous pouvez simplement envoyer un chèque à l’ordre de : la Tchatche, l’association qui édite le Ravi et l’adresser au 11 boulevard National, 13001 Marseille. Vous pouvez aussi réaliser un virement. N’hésitez pas à nous contacter au 0491087877 ou à communication@leravi.org.

Mais le Ravi c’est quoi ?

 

Un journal

Satirique

qui mêle articles et dessins de presse. La satire, pour faire vivre sans censure la liberté d’expression !

Engagé

qui assume des partis pris sans être partisan, pour plus de justice sociale et d’écologie.

Libre

qui enquête pour publier

des informations vérifiées, contradictoires,

qui enrichissent le débat public.

 

Local

qui vous raconte différemment Marseille,

la Provence et sa bouillante région dans un journal papier ou en ligne.

Tordant

grinçant,  ricanant… Un vrai remède contre la déprime,

le conformisme

et l’extrême- droite.

Irréductible

qui a traversé 18 ans d’entraves financières, politiques, de procès… Une épopée Donquichottesque qui débute à peine :  aidez-nous à terrasser les moulins à vent !

 

 et une association, la Tchatche

Actrice

de l’éducation populaire

qui intervient dans les quartiers et les écoles pour permettre aux jeunes et aux citoyens de s’emparer des médias avec discernement.

Pas pareille

qui fait entendre la parole de ceux auxquels on tend rarement le micro

en publiant des travaux

de journalisme participatif.

Indépendante

administrée par des bénévoles

qui garantissent la liberté

éditoriale du Ravi.

Pas de milliardaire à l’actif,

on reste à distance des pouvoirs politiques et économiques !

 

Pourquoi nous sauver ?

 

La réussite de cette campagne ce serait comme une bouée bien gonflée ! Sauvez-nous pour garder une presse libre et satirique en Paca. Sauvez-nous pour préserver un espace démocratique singulier qui se bat pour vous. Sauvez-nous pour garder une alternative à l’extrême droitisation et au lissage du discours médiatique dû à la concentration des grands médias par des milliardaires qui ont des intérêts économiques et politiques. Sauvez-nous pour vous engager avec nous dans l’action citoyenne, dans les écoles, les quartiers populaires, les prisons… Sauvez-nous pour que nous puissions continuer à défendre vos intérêts, ceux des David face aux Goliath. Sauvez-nous parce que vous aimez rire. Sauvez-nous pour nous aider à mener une refonte éditoriale vers un nouvel objet papier, encore plus beau. Vers une autre temporalité pour mieux articuler version imprimée et internet. Pour publier en 2022 notre hors-série rassemblant le meilleur de 18 ans de dessins de presse. Sauvez-nous parce que vous aimez les histoires qui finissent bien !

Pourquoi cet appel ?

 

la Tchatche, qui édite le Ravi et agit pour l’éducation aux médias dans les classes et pour animer des projets de journalisme participatif dans les quartiers populaires, est une association. Ce statut, lié à une gestion désintéressée, favorise l’indépendance de ses journalistes et permet d’agir pour l’éducation populaire sans chercher à enrichir des actionnaires. la Tchatche se finance à 70 %, un exploit dans le milieu associatif. Mais, en 2021 aucune grande collectivité locale ne l’a soutenu. Toutes investissent pourtant chaque année des millions dans la presse, surtout celle appartenant à des milliardaires. Et voilà, aujourd’hui, nous n’avons plus de trésorerie. Fin mars, sans votre aide, nous ne seront plus en mesure de payer les salaires et nos factures.

Eh oui, c’est compliqué d’être un journal d’enquête mais aussi satirique : ça dérange, ça attire les foudres de certains (les tribunaux commencent à bien nous connaître) ! Cela coûte aussi de l’argent. La seule pression à laquelle nous sommes sensibles, c’est la financière !

Les paliers de cette collecte d’ici mai :

  • 35 000 €  très vite pour passer le mois de mars.
  • 70 000 € pour survivre jusqu’à l’été.
  • 100 000 € pour cesser de survivre et nous permettre, avec nos autres ressources, de vivre pour les deux années à venir !

 

Foire aux questions