« Tenez bon ! »

novembre 2009
Griffonnées sur les bulletins d'abonnement ou sur le revers des chèques adressés à la Tchatche, florilège de petites phrases d'encouragements...

« D’après Picasso, « la beauté devait sentir sous les bras ». Si vous les baissez, ça sentira plus rien, et ce serait bien dommage. » Michel, Mane (04)

« Cher Ravi, tu es le seul à me rassurer, me faire sourire et rire de bon cœur parfois. Oui il faut vivre ! Il y a tant à dire, à faire. » Françoise, Marseille

« On est dans le même bateau et il est mal barré… mais pas question de se laisser marcher sur la gueule. » Cédric, La Seyne-sur-Mer (83)

« Un canard comme le vôtre est vraiment important dans mon paysage de Nice. » Cyrille, Nice

« Merci de continuer cette œuvre de salut public ! » Monique, Marseille

« Je vous suggère un journal plus aéré. Notez qu’après 45 mn, les lecteurs sont presbytes et donc évitez les petits caractères. » Hervé, Aix-en-Provence (13)

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« Nous sommes de tout cœur avec vous. La lutte continue ! » Neil et Damayanthi, Paris

« Vive la démocratie participative ! Je ne suis pas un lecteur « fidèle » du Ravi mais tout ce qui favorise que notre démocratie reste vivante, ceux qui permettent l’échange, méritent qu’on les soutienne. » Jean-Loup, Marseille

« Tenez bon ! Dites-vous juste que c’est du sport ! » Elsa, Arles (13)

« le Ravi vivra ! C’est possible plus que 856 bulletins comme celui-là. » Céline, Marseille

« Tenez le coup ! » Frank, Colomars (06)

« Haut les coeurs ! » Julie, Marseille

« Continuez, vous êtes indispensables à la vie locale ! Six ans qu’on vous lit, que vous êtes notre bouffée d’oxygène. » Cathy, Manosque (04)

« Pour que le Ravi ne baisse pas les bras ! » Felip, Saint Chamas (13)

« Déconnez pas, faites-vous vacciner contre la grippe A ! » Patrick, Marseille

« Tenez bon ! » Denis, Gap (05)

« Allez, le Ravi ! On s’accroche pour passer ce cap difficile… » Damien, Marseille

Et pour finir, sur le site de La Provence sous une notule consacrée au Ravi, ce commentaire de « Rafounet » : « Le mensuel est en crise, ça veut dire quoi ? Personne ne l’achète ou alors un petit noyau de soixante-huitards attardés ? Les « collaborateurs » devraient savoir que dans une économie de marché, si on ne vend pas son produit, on ferme (même si on est persuadé que son journal est le meilleur du monde…) »

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